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Quand Partir

 

Rappel : Le Chili étant situé dans l’hémisphère sud, les saisons sont inversées par rapport à la France:

Eté : décembre, janvier, février ; Automne : mars, avril, mai ; Hiver : juin, juillet, août ; Printemps : septembre, octobre, novembre

 

​Avec de bonnes infrastructures routières le Chili peut se visiter toute l’année. Les intempéries ne sont généralement pas un facteur limitant, mais il existe toutefois en fonction des régions des saisons plus propice en tenant compte des conditions météorologiques moyennes. Important : les grandes vacances scolaires d’été ont lieu de mi-décembre à début mars dans toute l’Amérique du Sud, pouvant entrainer une sur fréquentation des zones touristiques majeures et des stations balnéaires. En fonction des régions que vous souhaitez visiter, voici les périodes que nous recommandons :

Grand Nord :

Période optimale : d’avril à novembre.

Les mois de décembre, janvier, février et mars peuvent présenter des orages dans les montagnes et sur l’altiplano. Cela peut entrainer des mauvaises conditions pour circuler sur les pistes pendant et durant les quelques jours suivant l’orage. Le ciel est généralement nuageux. Et c’est une excellente période pour admirer le Salar d’Uyuni couvert d’eau… Le reste e l’année il fait généralement un grand ciel bleu et les températures sont agréables. Sur la côte, une brume marine se réveille quotidiennement et s’évapore généralement en milieu de journée. Le littoral se visite toute l’année sans problème, la baignade est possible même si l’eau est fraîche. La demande est très forte sur San Pedro d’Atacama aux mois de janvier et février, à cause des vacances scolaires locales.

 

Petit Nord :

Période optimale : toute l’année.

Les mois de juillet et août sont plus frais et le couvert nuageux peut gêner l’observation astronomique. Le reste de l’année il fait généralement un grand ciel bleu et les températures sont agréables. Sur la côte, une brume marine se réveille quotidiennement et s’évapore généralement en milieu de journée. La baignade est possible même si l’eau est fraîche.

 

Centre :

Période optimale : toute l’année.

Les principaux attraits de cette région ne sont pas soumis à un climat rigoureux. En hiver (juillet et aout) les stations de ski des environs de Santiago présentent d’excellentes conditions.

 

Île de Pâques :

Période optimale : toute l’année.

Bénéficiant d’un climat subtropical océanique, les conditions sont toujours bonnes sur Rapa Nui. Le ciel est un peu plus nuageux en hiver (juin, juillet, août). Durant les vacances scolaires de janvier et février la demande touristique est importante.

 

Patagonie des lacs :

Période optimale : toute l'année.

Comme en Europe, les quatre saisons sont assez bien marquées dans cette partie du Chili. L’automne et l’hiver peuvent être pluvieux et les sommets sont le plus souvent enneigés. Et ne va-t-on pas á la montagne en hiver ?! Les couleurs de l’automne, les plaisirs de la neige en hiver et les bains dans les sources chaudes sont à cette période des arguments de poids.  Des stations de ski sur les volcans du sud sont ouvertes de juillet à septembre. En été, les nombreux lacs sont souvent pris d’assaut par les touristes chilien de mi-janvier à fin février et certaines petites bourgades se transforment en grandes stations balnéaires (Pucón, Villarrica, Puerto Varas...). L’île de Chiloé aussi est très sollicitée par le tourisme local en janvier et février.

 

Patagonie australe :

Période optimale : d’octobre à avril.

Pour bénéficier de longues journées et des bonnes conditions climatiques il est préférable de voyager au plus proche de l’été austral. L’automne (avril, mai) offre des couleurs feu saisissantes, c’est « été indien austral ». L’hiver, les journées sont courtes, la neige peut rendre difficile certains déplacement, et certains secteurs des parcs peuvent fermer.

 

Formalités

Visa : Ceci est valable pour le Chili, l’Argentine et la Bolivie.

Pour un séjour inférieur à trois mois, le visa n’est pas exigé et seule la présentation d’un passeport dont la période de validité s’étend à au moins six mois après la date prévue d’entrée est demandée.

 

Ces renseignements pratiques ne sont fournis qu’à titre indicatif et ne peuvent engager notre responsabilité.

Nous vous conseillons de visiter avant votre départ la/les fiche(s) pays du ministère français des affaires étrangères relative(s) à votre voyage (Chili, Bolivie, Argentine…) sur le site Internet www.diplomatie.gouv.fr pour les questions relatives à la sécurité et aux formalités d’entrée.

 

Déclaration douanière et sanitaire:

Avant de passer les contrôles douaniers vous devez remplir une déclaration.

Douane : L’alcool pouvant être importé au Chili est limité à 2.5 litres par adulte. Toute somme d’argent en espèces supérieure à l’équivalent de 10 000 USD doit être déclarée aux douanes

Sanitaire : Restrictions à l’entrée sur le territoire chilien de produits frais (plantes, graines, fruits, fromages, viandes, miel…), en application de la législation locale. Tout produit d’origine animale ou végétale doit être déclaré à l’entrée du territoire et sera systématiquement confisqué en l’absence d’une autorisation spéciale. En cas d’infraction, les amendes sont élevées. Dans le doute mieux vaut déclarer afin d’éviter une amende.​

Santé

Chili : Vaccinations

Aucune vaccination n’est obligatoire mais certaines sont recommandées : assurez-vous d’être à jour dans vos vaccinations habituelles mais aussi liées à toutes les zones géographiques visitées. La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite (DTP) est recommandée en incluant Rubéole Oreillons et Rougeole chez l’enfant ; la vaccination antituberculeuse est également souhaitable.

Autres vaccinations conseillées : en fonction des conditions locales de voyage, les vaccinations contre la fièvre typhoïde et les hépatites virales A et B sont recommandées. La vaccination contre la rage peut également être proposée dans certains cas en fonction des conditions et lieux de séjour. Demander conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales.

 

Argentine et Bolivie : Vaccinations

La vaccination contre la fièvre jaune est conseillée (à pratiquer avant le départ dans un centre agréé). La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite (DTP) est recommandée en incluant rubéole, oreillons et rougeole chez l’enfant ; la vaccination antituberculeuse est également souhaitable. En fonction des conditions locales de voyages, les vaccinations contre la fièvre typhoïde et les hépatites virales A et B peuvent être recommandées.
La vaccination contre la rage peut également être proposée dans certains cas en fonction des conditions et lieux de séjour. Demander conseil à son médecin ou à un centre de vaccinations internationales.

Nous vous conseillons de visiter régulièrement avant votre départ la/les fiche(s) pays du ministère français des affaires étrangères relative(s) à votre voyage (Chili, Bolivie, Argentine…) sur le site Internet www.diplomatie.gouv.fr pour les questions relatives aux risques sanitaires.

 

Mal aigu des montagnes (MAM)

En altitude, la pression atmosphérique diminue : il y a moins de molécules d’oxygène disponible pour l’organisme dans un même volume d’air. La quantité d’oxygène disponible à 3000 m correspond aux deux tiers à celle du niveau de la mer ; à 5000m, à la moitié.

Son principal facteur d’apparition est une montée trop rapide en altitude. La plupart du temps, le mal aigu des montagnes est bénin et consiste en des maux de tête (96 % des cas), une fatigue importante, des troubles importants du sommeil (35 % des cas), des vertiges, une perte d’appétit et des nausées ; on note fréquemment une irritabilité. Ces premiers symptômes apparaissent généralement dans les 6 à 24 heures de séjour à votre altitude seuil (on peut le constater pour certains dès 2 500 m d’altitude). Si la personne continue sa progression en altitude, on peut voir apparaître les complications graves qui peuvent être mortelles : l’œdème pulmonaire (toux, crachats, lèvres bleues puis insuffisance respiratoire) et l’œdème cérébral (maux de tête intenses non soulagés par l’aspirine, vomissements, troubles de la vue, parfois troubles psychiatriques).

 

L’organisme réagit au manque d’oxygène (hypoxie) par plusieurs mécanismes : une réaction immédiate, et qui va durer quelques jours, augmente la ventilation et la fréquence cardiaque afin d’essayer de capter davantage d’oxygène dans l’air et de le transporter plus rapidement aux organes qui en ont besoin. Ces deux phénomènes sont couteux pour l’organisme au plan énergétique puisqu’ils vont faire travailler davantage les muscles respiratoires et le cœur. Ils vont donc être remplacés ou complétés par un mécanisme plus économique : l’augmentation du nombre de transporteurs d’oxygène, les globules rouges produits par la moelle osseuse. Leur temps de fabrication explique qu’il faut au minimum une semaine de séjour à une altitude suffisante pour voir apparaitre leur augmentation dans le sang.

La ventilation et la fréquence cardiaque pourront alors diminuer, sans toutefois revenir aux valeurs de base, surtout si la montée en altitude se poursuit. Des modifications hormonales complexes vont également se produire, permettant d’éviter une rétention d’eau par l’organisme, phénomène majeur dans l’apparition des signes de mauvaise acclimatation à l’altitude.

La plupart des personnes en bonne santé s’acclimatent correctement à l’altitude, à condition de respecter quelques règles simples.

 

La meilleure prévention au mal aigu des montagnes (MAM) est, bien évidemment, une acclimatation correcte :

Montée progressive en altitude :

Il ne faut pas monter trop vite, trop haut : 300 à 500 m de dénivelée par jour en moyenne au-delà de 3500m, l’important étant la différence d’altitude entre les nuits consécutives (le passage d’un col dans la journée peut nécessiter une ascension plus importante, mais il faut redescendre dormir plus bas). Si vous vous sentez en forme vous pouvez, une fois arrivé au bivouac, monter de 200 à 300 m, y rester une heure et redescendre.

Ne pas faire d’efforts physiques inutiles ou inconsidérés :

Ne faites pas d’efforts violents même si vous vous sentez en pleine forme « pour se tester » en début d’acclimatation. Cela peut favoriser l’apparition du MAM.

 

Boire suffisamment d’eau (et avoir des urines claires…)


 

Ne pas prendre de somnifères, qui favorisent les pauses respiratoires pendant le sommeil, ce qui aggrave l’hypoxie.

Autre réflexe important, pour éviter les complications : si vous êtes malades en altitude, c’est le MAM jusqu’à preuve du contraire ! Ne pas dire qu’on a mal à la tête parce qu’on a marché au soleil sans chapeau, qu’on vomit parce que les œufs de la veille n’étaient pas frais… Le refus du diagnostic, souvent considéré comme vexant, peut aboutir à des catastrophes. Or, la condition physique et l’acclimatation à l’altitude sont deux phénomènes indépendants.

Dernière règle d’or : ne jamais laisser seul dans sa tente ou au bord du chemin un sujet souffrant du MAM.

 

Si vous vous sentez mal (à l’exception des maux de tête soulagés par la prise d’aspirine), il faut arrêter de monter et se reposer. Beaucoup de gens ont recours à un médicament, le Diamox (Acétazolamide). Ce médicament améliore incontestablement l’acclimatation et se délivre en France sur prescription médicale. Si les signes persistent, il faut alors redescendre de 300 à 400 m et ne reprendre la progression que le lendemain si les signes ont disparu. Dans le cas contraire, vous devrez renoncer à poursuivre le trek.

 

Autres conseils utiles :

Un bon entrainement physique avant de partir ne protège pas du MAM, mais est évidemment souhaitable, car si on additionne la fatigue due au manque d’entrainement et la fatigue du au MAM, on souffre 2 fois plus !

Evitez d’être carencé en fer, ce qui est fréquent chez les végétariens et chez les femmes, car il faut du fer pour fabriquer les globules rouges.

 

Si l’itinéraire que vous envisagez se déroule à plus de 3000m, nous vous recommandons de consulter votre médecin traitant pour évaluer vos capacités afin de séjourner sereinement en altitude. (Prescription de Diamox (Acétazolamide), test d’effort sous hypoxie…)

 

L’IFREMMONT (Institut de formation et de recherche en médecine de montagne) propose le « SOS MAM », un service de conseil médical à distance qui s’adresse à toute personne adepte de voyage et/ou d’expédition en contrées éloignées dépourvues de structure sanitaire. Il offre la possibilité à quiconque de prendre avis auprès d’un expert médical, en amont ou pendant le voyage, par Internet, par téléconsultation ou par visioconférence.

Visitez leur site web (conseils, documentations, services…) http://www.ifremmont.com/

 

Transport

Le réseau routier chilien se compose d’autoroutes et de routes asphaltées entre les principales villes et bourgades. En zone rurale de nombreuses pistes sont présentes, généralement en bon état.

Les transports en commun fonctionnent bien, en particulier les bus inter urbain. Ces bus allant de simples à confortables desservent les gares routières de chaque grande ville et de la plupart des villages d’intérêts touristiques. L’avion est souvent la meilleur solution vu les distances. Le réseau ferroviaire est quasiment inexistant. Dans la région des fjords et à Chiloé des ferries assurent les liaisons maritimes. A Santiago, le métro est pratique et sûr, mais les bus par contre sont à éviter.

Conduire au Chili :

Louer une voiture : vous devez présenter permis de conduire (de préférence international), passeport et une carte de crédit.

Le code de la route est globalement respecté. On recommande au Chili de conduire « à la défensive ».

Dans certaines régions les stations-services sont très espacées, il est recommandé de se renseigner et d’emporter des réserves si nécessaire. La conduite sur piste demande plus de précautions à cause des nombreuses déformations, de l’absence de signalétique et des risques de dérapage.

En cas d’accident matériel de la circulation, se rendre au commissariat le plus proche, pour obtenir un constat pour la compagnie d’assurance, ou demander l’intervention des carabiniers, si le véhicule est immobilisé. Dans tous les cas, relever le numéro des véhicules impliqués et le numéro d’identité chilien des conducteurs (R.U.T).

En cas d’accident corporel de la circulation ou autre survenu sur la voie publique, le blessé est automatiquement conduit dans un service d’urgence d’un hôpital public, pour les premiers soins. Il lui appartient ensuite, en accord avec sa compagnie d’assurance, de se faire transférer dans une clinique privée, dont les tarifs sont particulièrement élevés, et qui exigera un paiement anticipé soit par chèque de caution soit par carte de crédit. En cas d’accident grave corporel, la mise en détention provisoire du responsable présumé est immédiate, en attendant son passage devant le juge.

Nous vous conseillons de visiter avant votre départ la/les fiche(s) pays du ministère français des affaires étrangères relative(s) à votre voyage (Chili, Bolivie, Argentine…) sur le site Internet www.diplomatie.gouv.fr pour les questions relatives aux transports.

 

Sécurité

Nous vous conseillons de vous inscrire sur le portail Ariane. Ce service gratuit du Ministère des Affaires Etrangères permet au voyageur français de communiquer des données sur son voyage à l'étranger. Ces données seront utilisées en cas de crise à l'étranger pour le contacter sur son téléphone portable au cas où des opérations de secours seraient organisées ou encore pour joindre rapidement sa famille ou ses proches en France. 

Accéder au service Ariane : https://pastel.diplomatie.gouv.fr/fildariane/dyn/public/login.html

 

Risques naturels :

La cordillère des Andes est une zone sismique et volcanique, et le littoral chilien peut présenter des risques de tsunami. Nous vous recommandons de visiter ce site pour de plus amples informations : https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/infos-pratiques/risques/risques-naturels/

Délinquance : comme partout, il faudra éviter d’afficher des objets de valeurs, prendre garde a ses affaires personnelles dans les lieux publics très fréquentés (terminal de bus, abords des sites touristiques…) et lors de vos déplacements en transport en commun. Ces trois pays présentent des degrés de délinquance disons communs, qui se manifestent le plus souvent dans les grandes villes et les lieux de grande affluence. Ne pas opposer de résistance lors d’une agression. Si vous n’en avez pas besoin, laissez vos affaires de valeurs, papiers d’identité, titres de transport à l’hôtel. Utilisez une pochette ou ceinture « anti-vol », près du corps, pour vos documents d’identités, vos cartes bancaires, votre contrat d’assurance. Séparez votre argent liquide (mettez-le dans un porte-monnaie à part). Soyez vigilants lors de vos retraits et paiement par carte bancaire (des cas de clonage ont été observés, des personnes mal intentionnés peuvent souhaiter vous « aider » …).

Nous vous conseillons de visiter avant votre départ la/les fiche(s) pays du ministère français des affaires étrangères relative(s) à votre voyage (Chili, Bolivie, Argentine…) sur le site Internet www.diplomatie.gouv.fr pour les questions relatives à la sécurité.

 

Assurance

Nous vous recommandons de souscrire à une assurance couvrant les soins médicaux, les frais de rapatriement.  Pour ceux qui souhaitent conduire votre contrat doit intégrer une assistance juridique.

Equipement

Avec des climats variés et des altitudes parfois élevé, un voyage dans les  Andes requiert de vêtements permettant de s’adapter à des conditions versatiles. Il faudra donc prévoir des vêtements d’hiver (séjour en montagne, sur l’altiplano, en Patagonie), et d’été (désert d’Atacama, plages, belles journées d’été…) Ensuite vient s’ajouter une gamme d’accessoires indispensables ou non, selon les voyages et les personnes. Voici une liste permettant de se préparer (Informations données à titre indicatif) :

 

LISTE D’ÉQUIPEMENT RECOMMANDÉ POUR UN VOYAGE TREK ET DÉCOUVERTE

 

BAGAGES

Valises ou Sac de voyage souple (pour un circuit « trek » : ok avec roulettes, éviter les valises rigides)

Sac à dos 30l/40l pour les excursions 

Sac étanche adapté à la taille de votre sac d’excursion pour protéger vos affaires à l’intérieur de ce sac (pluie et poussière)

Sacs plastiques de rangement pour « classer » vos affaires mais aussi pour les protéger de la poussière lors des éventuels transports sur piste (ou un seul grand sac plastique résistant pour l’ensemble de votre équipement, à l’intérieur du sac de voyage)

 

SE PROTÉGER DU SOLEIL

Casquette ou chapeau (si possible avec protection pour le cou)

Lunettes de soleil (mini UV3) 

Crème solaire (indice élevé) et stick lèvre

Tee-shirt et chemises manches longues

Pantalon en toile léger

 

SE PROTEGER DU FROID

Gants en polaire (idéal « windstopper ») (gants de ski pour les ascensions)

Echarpe, foulard, "buff"

Bonnet

Grosses chaussettes

Vêtements et Sous-vêtements longs thermiques

Doudoune en plume (climat sec) ou synthétique (climat humide)

 

RANDONNÉE

Chaussures de randonnée (pas forcément montantes pour les circuits sans ascensions)

Chaussures basses de sport pour les balades, les soirées en refuge, les visites en ville

Pantalon confortable pour le voyage et les randos

Veste avec capuche et sur-pantalon type « goretex »

Gourde ou poche avec pipette (idéal isotherme) 1.5L / 2L

 

DIVERS

Maillot de bain (sources thermales)

Serviette de bain légère (microfibre)

Sandales, tongs, crocs…

Jumelles

Equipement photo

Lampe frontale avec piles (rechargeables de préférence) de rechange, chargeur de piles.

Gel désinfectant pour les mains

Lingettes sans alcool

Mouchoirs

Couteau de poche

Pochette ou ceinture « antivol » (passeport, contrat d’assurance, carte de crédit…)

Pochette imperméable et sacs « secs »pour protéger vos affaires des caprices du climat

Sac de couchage (Altiplano et Patagonie : confort -5°C pour les nuits en refuge ou sous tente).

Drap de sac de couchage (micro polaire pour les frileux)

Multiprise électrique pour charger ses appareils électroniques

Petit savon de Marseille (toilette, petite lessive)

Copie de documents : scanner puis envoyer sur votre email la copie de votre passeport et des autres documents importants comme votre contrat d'assurance…

 

TROUSSE PREMIERS SOINS (À avoir toujours dans le sac à dos que l’on utilise lors des excursions)

Guide/manuel de secourisme

Couverture de survie

Pansements adhésifs stériles de plusieurs tailles

Désinfectant (antiseptique en dosettes et/ou compresses imprégnées)

Compresses stériles

Ruban adhésif

Gants à usage unique (type chirurgie)

Sucres emballés (2-3)

Bandes en rouleaux de différentes largeurs (entorse, maintien d’un bras en écharpe…)

Paire de ciseaux pour tissu

Pince à épiler

Pansements oculaires

Thermomètre

Gouttes oculaires apaisantes

 

PHARMACIE PERSONNELLE

Tous les médicaments préconisés peuvent comporter des contres indications, il est recommandé de consulter votre médecin traitant.  Vérifier les dates de péremptions avant votre départ. L’idéal est de ranger vos médicaments dans votre bagage principal dans une boite plastique hermétique.

 

Anti-diarrhéique (Tiorfan, Immodium, Intétrix...)

Antibiotiques à large spectre (Amoxiciline, Zythromax...)

Pour les nausées (Motilium...)

Pour la constipation (Parafine, Forlax...)

Pour les douleurs abdominales, génitales (Spasfon...)

Pour les brûlures d'estomac (Inexium...)

Pour les hémorroïdes (pommade, suppositoire...)

Pour les problèmes oculaires (Collyre, Tobrex...)

Pour les éventuelles ampoules (pansements double peau de différentes tailles...)

Pour les problèmes de peau (Sénophile, Fucidine...)

Pansements stériles, produits désinfectants (unidose)

Bandes élastiques adhésives (type Elastoplast)

Pommade anti-inflammatoire (Ketum, Geldène...)

Aspirine, Paracetamol (500 mg à croquer)

Antitussif non sédatif (Silomat...)

Pastilles pour la gorge

Brûlure, coup de soleil (Dexeryl)

Vitamine C

Pour l’altitude (Diamox et Kaléorid)

Homéopathie (Coca 5 CH et 9 CH pour l’altitude, Arnica 9 CH pour les courbatures, Ledum Palustre 9 CH pour éloigner les moustiques…)

Argent

Devises :

Chili : la monnaie locale est le Pesos chilien (CLP).

Argentine : la monnaie locale est le Pesos Argentin (ARS)

Bolivie : la monnaie locale est le Boliviano (BOB)

 

Au Chili et en Bolivie, les paiements se réalisent avec la monnaie locale. Rares sont les possibilités de payer en dollars US (USD) ou en Euros. En Argentine, il est souvent possible de payer en USD et parfois aussi en Euros (paiements en Euros moins courant).

 

CB :  Dans les trois pays on peut payer par carte bancaire, mais ceci est moins répandu en Bolivie. Les retraits par carte bancaires sont limités à des sommes avoisinant les 300 euros / jour, et des frais de commissions sont appliqués. Certaines régions disposent de peu de distributeurs, assurez-vous d’avoir suffisamment d’espèce avant de vous engager dans les coins reculés ou isolés.

 

Change : Il est possible de changer euros (EUR) et dollars (USD) dans toutes les villes et la plupart des villages touristiques. Les bureaux de change sont les plus avantageux (horaires, taux de change). Quelques banques acceptent aussi de faire du change (montant minimum exigé, ouvert du lundi au vendredi de 9h à 14h). Certains hôtels proposent aussi ce service. Attention, les billets d’euros et de dollars USD présentant le moindre défaut (taches, déchirure, rayure…) sont refusés. Du coup soyez vigilent avec les billets que vous changez et ceux que vous recevez lors du change

 

Pourboires : Il est d’usage de laisser 10% du montant de ses consommations dans un restaurant ou un café. Il est d’usage de laissé un pourboire à un conducteur, un guide lors des excursions réalisées sur place. Au Chili et en Argentine, compter par personne à  partir de 1,5 € / jour pour un conducteur, 3 € / jour pour un guide. Pour la Bolivie compter par personne à  partir de 1 et 2 € / jour pour un conducteur et un guide, respectivement.

 

Dépenses : Le Chili est un pays qui se développe vite, et où le coût de la vie est assez élevé. C’est particulièrement vrai pour San Pedro de Atacama, l’Île de Pâques et la Patagonie Australe où le prix sont plus élevés qu'ailleurs.

Restaurant : Dans un restaurant simple un déjeuner avec une boisson coûte environ de 8 € (6000 $ pesos), et à partir du double pour un dîner. Une bouteille de vin correcte coûte entre 10  et 20 € (7500 à 15000 $ pesos). Un apéritif (Pisco Sour) ou une bière environ 4 € (3000 $ pesos). Boire un verre le soir, compter environ 6 € / verre (4500 $ pesos).

Voiture : l’essence (« bencina ») coûte environ 1,1 € / L (800 $ pesos), le diesel (« petroleo ») environ 0,8 € / L (630 $ pesos). Prix indicatifs, observés à  Santiago en juillet 2018. Les autoroutes ont des péages, compter 3 € / 100km. Les parkings en général (hors aéroport) coutent 1,5 € / h.

 

Divers

 

Langue :

L’espagnol se pratique majoritairement dans les trois pays. Une partie des populations locales selon les régions pratiquent entre eux en parallèle le Quechua et l’Aymara (Bolivie, Nord-ouest Argentine, Nord Chili), le Mapudungún (centre du Chili, Patagonie chilienne et argentine), le Rapa Nui (Île de Pâques)

 

Décalage horaire :

Le Chili et la Bolivie se trouvent sur le fuseau horaire « UTC-4 »

L’Île de Pâques sur le fuseau « UTC-6 » (2h de moins qu’au Chili)

L’Argentine sur le fuseau « UTC-3 »

Comme le Chili et la France changent d’heure en hiver, le décalage horaire est variable au cours de l’année. On a ainsi 6h de décalage durant l’hiver austral, 4h durant l’été austral et 5h dans la période intermédiaire des changements d’horaires respectifs entre ces deux pays.

La France se trouve sur le fuseau « UTC+2 »

 

Electricité :

Un adaptateur n’est pas nécessaire. Les prises sont aux normes européennes. Une prise multiple peut être utile selon le nombre d’appareils à recharger. Il y a peu de prises dans les refuges par exemple.

 

Téléphone :

Depuis la France vers un téléphone fixe chilien: +56 + indicatif régional + numéro du correspondant

Depuis la France vers un téléphone portable chilien: +569 + numéro du correspondant

 

Depuis la France vers un téléphone fixe argentin: +54 + indicatif régional + numéro du correspondant

Depuis la France vers un téléphone portable argentin: +54 + numéro du correspondant

 

Depuis la France vers un téléphone fixe bolivien: +591 + indicatif régional + numéro du correspondant

Depuis la France vers un téléphone portable bolivien: +591 + numéro du correspondant

Depuis l’étranger vers un téléphone fixe français: +33 + indicatif régional + numéro du correspondant

Depuis l’étranger vers un téléphone portable français : +336 + numéro du correspondant

 

Artisanat, cadeaux :

En bois (Patagonie), en bois de cactus (Nord),  en laine d’alpaga (Nord) ou de mouton (Patagonie), vin, Pisco (eau de vie), poteries et céramiques, bijoux ethniques mapuche en argent, bijoux semi précieux en lapis lazuli, livre d’auteurs chiliens (Pablo Neruda, Francisco Coloane…), musique chilienne (Inti-llimani, Violeta Parra, Los Jaivas, Chancho en Piedra, Mon Laferte, Ana Tijoux…), livre de recettes…

Formalités
Santé
Transport
Sécurité
Equipement
Argent
Divers
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